CÉtait À LÉpoque Des Cinémas Pornos.
Un samedi soir dété, après avoir été dîner dans un petit restaurant du quartier latin, jemmenais ma femme dans un cinéma dune rue perpendiculaire aux Champs Élysées.
Il nous arrivait, de temps en temps, de pimenter notre vie sexuelle en allant voir un film « cochon » et souvent, ny tenant plus, nous passions sur la banquette arrière de la voiture avant même dêtre rentrés à la maison.
Il marrivait fréquemment de la caresser durant la séance et jobtenais parfois quelle me rende la pareille.
Cette fois ci, le cinéma étant bien peu remplis, nous nous installâmes au milieu dune rangée déserte et attendîmes le début du film avec chacun un pincement au creux des reins.
Le film commença et comme souvent, de jolies soubrettes se retrouvèrent vite nues en train de sucer le maître des lieux et ses invités.
Je glissai délicatement ma main sur la cuisse de ma femme et commençai à remonter sans quelle nopposa de résistance, écartant même légèrement les cuisses, autant que sa jupe le lui permettait, pour que je puisse arriver jusquà son entre jambe. Je découvrais alors quelle avait mis des collants. Néanmoins, à la moiteur de son entre cuisse je devinai son état dexcitation.
Je lui susurrai quelle aurait quand même pu mettre des bas ou au moins enlever ses collants.
« Tu nas quà me les déchirer » me dit-elle dans un souffle.
Pour le coup, cest moi qui ai le souffle coupé, mais cet aspect coquin et inattendu renforce mon excitation et jentreprends de déchirer le fin nylon.
Lorsque jy parviens, je sens sa culotte trempée, glisse un doigt dessous et entreprends une caresse de son intimité. Elle écarte un peu plus les cuisses, bascule son bassin pour me faciliter les caresses.
Jintroduis un doigt en elle ce qui la fait gémir légèrement. La position ne mest pas des plus confortables, mais lexcitation est telle que je nai de cesse que de lui mettre un second doigt.
Lorsque jy parviens elle entreprend carrément des mouvements du bassin et jentends à ses soupirs quelle nest pas loin de jouir.
Je tourne la tête et vois dans le noir quun homme est venu sassoir à sa droite.
« Viens on sen va me dit elle »
Pourquoi ?
Le mec a essayé de me mettre la main entre les cuisses.
Et alors ?
????
Tu ne veux pas te laisser faire ?
Ben, heuu, tu veux toi ?
Pourquoi pas !
Ce qui cest passé à partir de ce moment ma sidéré.
Je pense quelle na pas été ravie de ma proposition et quelle a voulu me le faire payer tout en profitant de lextrême excitation de la situation.
Elle sest tournée vers le mec lui a dit quelque chose que je nai pas entendu, puis elle a repris sa position cuisses écartées bassin basculé vers lavant.
Mon cur battait à se rompre, ma gorge était serrée, partagé entre lexcitation et la peur de voir ma femme aux mains dun autre.
Je posai alors de nouveau ma main sur la cuisse de ma femme et remontai franchement vers son sexe lorsque je senti une main qui en avait déjà pris possession. Je senti les mouvements de ces doigts qui la fouillaient, je perçu les ondulations de son bassin et les halètements qui sortaient de sa gorge.
Jétais désemparé, mais bon, cest moi qui avais insisté.
Jentrepris alors daller ajouter mes doigts à ceux de cet inconnu afin de ne pas lui abandonner ma femme. Je parvins à introduire 2 doigts en plus des deux de linconnu et je devinais que ma femme se pinçait les lèvres pour ne pas hurler son plaisir. Cest alors que je maperçu que sa main droite branlait vigoureusement le mec, alors que moi, je navais droit à rien. Avant même que je ne me remette de cette découverte, je vis lhomme passer la main sur la nuque de ma femme, lattirer à elle et lui enfourner son sexe dans la bouche.
Il la tenait par les cheveux assez fermement et lui imprimait la cadence quil voulait. Je compris assez rapidement malgré la pénombre, que le gars était en train de lui lâcher son plaisir dans la bouche.
Jétais tout à la fois paniqué et liquide dexcitation. Lorsque je la vis se relever, elle croisa mon regard ; je ne vis dans le sien ni honte, ni peur, mais plutôt une espèce de bravade.
A ce moment, lhomme lattira à lui, sapprocha de son oreille et lui dit quelque chose.
Elle se retourna alors vers moi et me dit :
« il veut memmener aux toilettes, est ce que tu es daccord ? »
« Alors là, non ! » cette situation ma excitée mais je veux en rester maître.
Elle se penche vers lui, il lui dit quelque chose, revient vers moi :
« il veut me prendre, là, devant toi, entre les sièges »
« et toi, tu veux ? »
« Oui, jen crève denvie, me faire prendre par un inconnu, dans un tel lieu, devant toi
. «
Avant même que je me sois remis de cette demande, elle avait glissée à genou devant mon siège.
Le gars sétait lui aussi mis à genoux derrière elle, avait retroussé sa jupe et lavait prise dun coup sec, lui arrachant une grimace.
Je voyais maintenant les mains de ce gars accrochées aux reins de ma femme. Je ne savais pas dire si ces violents coups de reins quelle subissait lui procuraient plaisir ou douleur.
Quand il la prit par les cheveux en lui tirant la tête en arrière, jeu moi aussi envie de profiter de cette femme qui pour linstant nétait plus la mienne. Je sorti mon sexe et lapprocha de la bouche de ma femme. Elle sempressa tant bien que mal de lenfourner, subissant toujours les assauts de son baiseur.
Ce quelle me donnait nétait pas dune qualité exceptionnelle, mais vu le peu de confort je ne pouvais lui en vouloir.
Je sentais néanmoins mon plaisir monter et étais bien décidé à tout lui lâcher dans la bouche quand je maperçu que des têtes sétaient tournées et regardaient le spectacle.
Le spectacle était dans la salle et plus à lécran.
Ma femme ne se retenait plus de gémir à chacun des assauts et le gars ne se gênait pas non plus de les accompagner de râles puissants.
Je compris à laccélération de ses mouvements quil allait jouir de nouveau mais cette fois en elle.
Jétais pris dune peur panique que dautres franchissent le pas et veuillent eux aussi se la faire.
Dès quil eu déchargé dans un dernier grognement de satisfaction, je pris ma femme par la main, la fit lever et nous partîmes en courant sous les acclamations des spectateurs de cette scène.
Le retour se fit dans un silence absolu, gênés que nous étions lun et lautre de ce que nous avions fait et vécu.
Ce nest quen arrivant à la maison, avant de descendre de voiture quelle me dit :
« il ne sest rien passé, on nen reparle pas ; je taime »
Mais jétais toujours aussi excité et jestimais avoir le droit moi aussi à profiter delle.
Je lembrassai, lui glissai une main sur les seins et elle dit : « vient »
Nous rentrâmes chez nous et à peine la porte fermée, elle membrassa, marracha ma chemise, plongea sa main sur mon sexe, le sorti de mon pantalon et memmena ainsi jusquau canapé.
Là, elle se mit nue en gardant toutefois ses collants déchirés, sa culotte de travers, elle se mit à quatre pattes sur laccoudoir et me dis :
« prends moi fort »
Je lui saisis les hanches et plongea en elle, ne pouvant mempêcher de penser et de revoir cet homme la prendre ainsi devant moi.
Au bout de quelques instants, elle se dégagea doucement et sans rien me dire, pris mon sexe dans sa main, le guida à lentrée de son petit trou et sempala dessus dun coup.
Elle mavait toujours refusé cela, jétais surpris et encore plus décontenancé, mais je ny tenais plus et quelques ruades plus tard, je lui lâchais tout dans son anus.
Pendant de temps, ses doigts sagitaient fermement sur son bouton et elle ne tarda pas à me rejoindre dans un orgasme fort, violent, bruyant.
Plus tard, dans la nuit, je ne pu mempêcher de lui demander pourquoi ce plaisir soudain et inattendu quelle mavait toujours refusé ?
Jai tellement aimé quand le gars ma prise par là et jétais tellement gênée de te lavoir toujours refusé alors que lui sétait servi, que je ne pouvais pas ne pas te faire cette faveur. Tu as aimé ?
Oui jai aimé, mais toi, on dirait bien que tu as adoré aussi ?
Jai beaucoup aimé, mais quand il ma prise, jai dérouillé ; il était gros, je ne my attendais pas et il na pas fait dans la dentelle ; il ma bien e, et jai serré les dents pour ne pas hurler, mais une fois quil a été dedans, jai pris un pied denfer.
Tu sais, jaimerais beaucoup essayer en double
..
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